Notre grand projet

Doubler la vitesse d'apprentissage de millions d'élèves.

On nous pose souvent la question de notre succès: “Alors, ça marche du tonnerre vos formations !?”. Oui et non.

Oui, elles sont régulièrement parmi les 1% les plus appréciées des enseignants.

Non, elles n’atteignent pas les objectifs que nous nous sommes fixés. Il faut dire que ces derniers sont particulièrement ambitieux: démultiplier l’efficacité de centaines de milliers d’enseignants, au bénéfice de millions d’élèves. Et même si nous formions 365 jours/an, que nous prenions à deux les enseignants par groupe de 100 pour 2 jours, nous ne verrions même pas tous les enseignants de la micro Belgique francophone d’ici notre pension. Ce n’est pas “scalable”.

Doubler !

Nous avons la conviction qu’un logiciel d’apprentissage serait la clé pour y parvenir. Cette conviction n’est pas scientifiquement prouvée vu qu’il n’existe pas encore. Le logiciel que nous cherchons serait capable de répéter l’expérience suivante à volonté :

  • Un prof lambda
    (pas de super prof, ni de super coaching de ce prof)
  • parvient en 1 mois
    (alors qu’il a les élèves au moins à mi-temps)
  • à doubler la vitesse d’apprentissage de ses élèves,
  • après introduction du logiciel.
    (on s’assure que chaque élève ait son ordinateur)

Impossible ?


C’est notre reformulation du “2-sigma problem” posé par Bloom en 1984. Cela reviendrait à réussir là où les grands pédagogues échouent depuis plus d’un siècle. Oui, un grand maître peut atteindre une efficacité scolaire hors norme. Même nous, l'avons fait dans notre classe laboratoire de 2018-2020. Mais ni Montessori, ni Decroly, ni Freinet, ni Dewey, ni Bloom, ni Mitra, ni même Khan n’est parvenu à enclencher une transformation pédagogique convaincante de la majorité des enseignants. Nous pensons que l’informatique est le chaînon manquant pour parvenir à un tel changement civilisationnel. Et quand les apprentissages de base prendront moins de temps, on pourra enfin inscrire les soft skills et la planète au cœur de l’enseignement

Nous pouvons le faire.


Nous avons établi les grandes lignes d’un tel logiciel, de la formation des enseignants et des moyens de tout diffuser au plus grand nombre. Nous avons même réalisé un premier module de lecture.

Mais atteindre un doublement de la vitesse d'apprentissages pour les élèves de centaines de milliers d'enseignants va nécessiter des fonds à 7 ou 8 chiffres. Contactez-nous si vous désirez nous aider à les collecter !


Contactez-nous

Dans ces 3 vidéos, John & Fanny montrent avec comment un logiciel à créer pourrait changer la donne dans une classe.


Partie 1 - Pourquoi différencier est trop compliqué sans logiciel ?

Dans cette première partie, nous expliquons:

  • Pourquoi différencier boost les apprentissages.
  • Comment différencier et qu'est-ce qui est compliqué.
  • Exemple en classe de la lecture: fiches et livres.
  • Exemple en classe des exercices (drills actuellement disponibles en papier, sans logiciel).
  • Quelles sont les tâches "pédago-bureaucratiques" que nous voulons automatiser.



Partie 2 - Référence scientifique

Dans cette deuxième partie nous nous penchons sur la recherche scientifique en éducation, surtout l'écart entre les recommandations des experts et la faisabilité en classe:

  • PNL et gestion mentale,
  • Mastery Learning (Bloom),
  • Notre projet européen de 2017-2020,
  • Visible Learning (Hattie),
  • Les neurosciences cognitives.

Puis, nous montrons des exemples filmés en classe dans les domaines de:

  • la mémorisation (espacer et cacher),
  • la consolidation (feedback immédiat mais cadré),
  • la ludification
  • l'organisation de nombreux tests supervisés.

Pour en arriver à l'équation: apprentissage = temps x attention x stratégie.


Partie 3: Ce qui existe ne suffit pas

Cette troisième vidéo passe des logiciels existants en revue:

  • Google Classroom,
  • Jeux Multimaths,
  • Quizlet,
  • Reconnaissance vocale,
  • Orthographe du français,
  • Zoom.

Leurs faiblesses individuelles et cumulées (usine à gaz) les empêche d'approcher le doublement de vitesse d'apprentissage que nous visons. Nous passons en revue les caractéristiques nécessaires qu'il faudrait retrouver dans un logiciel avec ce niveau d'efficience.

Nous illustrons le besoin de centralisation des données avec l'exemple d'Ikram qui change d'école et d'enseignant.

Nous analysons aussi la crainte d'avoir des élèves trop longtemps sur les écrans. S'il est conçu dans ce sens, un logiciel peut réduire ce temps à un minimum en favorisant l'entraide entre élèves loin de l'ordinateur.

Finalement, nous abordons les compétences du 21e siècle (savoir être) dont le logiciel doit favoriser le développement durant le travail, mais aussi en raccourcissant le temps de travail afin de consacrer plus de temps d'école exclusivement à ces compétences.


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